"« Nous ne pouvons pas être prisonniers de 780 000 km2 ». C’est ainsi que l’autocrate Erdogan exprimait en public, en novembre 2016, la politique néo-ottomane que son parti mène depuis le début des années 2000, pour redonner à la Turquie une place de grande puissance, héritière de l’Empire ottoman. Force est de constater que ces 20 dernières années, cette politique a porté ses fruits. La Turquie est passée d’un État régional modeste, intégré dans l’OTAN, à une puissance régionale incontournable. Essayant de se positionner parfois même comme la « troisième voie » entre États-Unis et Russie."

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